Bar Open (C'est le cas de le dire)

À Gatineau, la direction du bar L'Enfer a trouvé une façon originale et controversée d'attirer et de faire vibrer sa clientèle féminine le vendredi soir: distribuer des vibrateurs aux 50 premières clientes entrant dès l'ouverture des portes.

Les retardataires peuvent toutefois se reprendre; elles en reçevront un si elles acceptent de participer à des jeux érotiques.

Vendredi dernier, l'animateur de la soirée a demandé à deux femmes de s'embrasser devant toute la clientèle afin de mettre la main sur l'objet sexuel. Des témoignages cités dans le journal Le Droit signalent qu'elles se sont exécutées timidement, au plus grand plaisir des hommes, mais devant la consternation de certaines clientes.

Denyse Côté, sociologue à l'Université du Québec en Outaouais et experte des relations homme-femme, s'insurge également devant cette promotion du bar. Elle perçoit que le propriétaire des lieux, Jason Harding, réplique à la perfection la méthode de la série américaine Girls Gone Wild, qui consiste à remettre un t-shirt à des femmes passablement éméchées, en autant qu'elles exhibent leurs seins ou leurs sous-vêtements.

NDLR : Nous avons appris que se serait des dildos bleu avec de la "grip" qui seraitdistribué dans ce bar. De plus, le propriétaire serait propriétaire d'une neon blanche. Finalement, pour ne pas offusquer nos lecteurs, nous n'avons pas mis de photo de dildo, de fille se touchant ou de Jeep touchant les filles qui se touchent. Touche.