Les suisses sont gros.
Les Suisses continuent de manger trop, trop gras et trop sucré. Pas moins de 37% des Suisses ont un excès de poids ou sont obèses, selon le 5e Rapport sur la nutrition en Suisse, présenté lundi par le gouvernement de Berne.
La croissance des bourrelets de graisse et du nombre de diabétiques constitue le plus gros problème de nutrition en Suisse, a expliqué Thomas Zeltner, directeur de l'Office fédéral suisse de la santé publique (OFSP). Pas moins de 45% des hommes, 29% des femmes et un enfant sur cinq souffrent en effet de surcharge pondérale. A cela s'ajoute quelque 250 000 personnes touchées par le diabète. C'est la consommation d'aliments énergétiques, contenant beaucoup de graisses, de sucres et peu de fibres alimentaires, qui est le principal facteur de risque en matière d'excès de poids, a souligné Monika Eichhlozer, spécialiste en médecine préventive.
En Suisse, c'est en 1998 que cette évolution inquiétante a été particulièrement mise en évidence, selon Thomas Zeltner, directeur de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Pour y faire face, les autorités ont lancé il y a trois ans le programme Suisse Balance, incitant la population à se nourrir de manière plus équilibrée et à bouger régulièrement. Le rapport sur la nutrition est publié tous les sept ans.
NDLR : On est pas sur s'il s'agit des Suisses (le peuple) ou des suisses (l'animal). Dans les 2 cas, arrêter de nourrir ces petits gros. On veille à leur santé.
La croissance des bourrelets de graisse et du nombre de diabétiques constitue le plus gros problème de nutrition en Suisse, a expliqué Thomas Zeltner, directeur de l'Office fédéral suisse de la santé publique (OFSP). Pas moins de 45% des hommes, 29% des femmes et un enfant sur cinq souffrent en effet de surcharge pondérale. A cela s'ajoute quelque 250 000 personnes touchées par le diabète. C'est la consommation d'aliments énergétiques, contenant beaucoup de graisses, de sucres et peu de fibres alimentaires, qui est le principal facteur de risque en matière d'excès de poids, a souligné Monika Eichhlozer, spécialiste en médecine préventive.
En Suisse, c'est en 1998 que cette évolution inquiétante a été particulièrement mise en évidence, selon Thomas Zeltner, directeur de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Pour y faire face, les autorités ont lancé il y a trois ans le programme Suisse Balance, incitant la population à se nourrir de manière plus équilibrée et à bouger régulièrement. Le rapport sur la nutrition est publié tous les sept ans.
NDLR : On est pas sur s'il s'agit des Suisses (le peuple) ou des suisses (l'animal). Dans les 2 cas, arrêter de nourrir ces petits gros. On veille à leur santé.
1 Comments:
T'as été plus rapide que moi sur celle là
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